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Lorsque les "graphistes" comprendront que les impacts indirects de la non-qualité (orthographe et grammaire en particulier) existent et que cette non-qualité a des conséquences humaines, physiques, financières et écologiques importantes, alors les documents imprimés seront certainement plus efficaces.
Je suis là pour imprimer les documents que vous voudrez bien me confier dans un format maxi de 32 par 45 centimètres (voir la liste des imprimés ci-contre).
Nous pouvons travailler ensemble où que vous soyez en France métropolitaine.
Je ne suis pas un « discounteur » (je ne pratique pas l'impression en amalgame) et je ne présente pas de grille tarifaire sur mon site car chaque imprimé est particulier et requiert un processus de fabrication qui lui est propre.
Mes prix sont calculés au plus juste.
Contrairement à beaucoup, je ne cherche pas à faire des « coups », je préfère établir une relation durable entre mon client (c'est-à-dire vous) et moi.
Ceci étant posé, vous comprendrez que ce n'est peut-être pas chez moi que vous trouverez les prix les plus bas du marché .
Selon moi, les distinctions écologiques devraient être attribuées par l'État pour récompenser les efforts de l'entreprise mais il se trouve qu'elles le sont par des sociétés privées…
On pourrait philosopher sur le sujet mais en fait, ce qui compte, c'est de bien faire mon travail tout en polluant le moins possible. Imprimer, c'est marquer une surface prévue pour ça… pas la nature. C'est pourquoi je trie mes déchets.
L'atelier étant tout petit, la plupart des machines sont déplaçables.
Quelques-unes de mes machines : CTP Xanté sans chimie, presse offset Heidelberg QM46-2, presse numérique Xanté Ilumina HWC, plastifieuse, assembleuse, massicot, bordeuse, relieuse à colle à froid, etc.
On chicane avec le graphiste, mais, face au plombier, on ne discute ni de la couleur, ni du diamètre des tuyaux. Parce que tout le monde n'est pas plombier, alors que, c'est bien connu, chacun est graphiste et typographe très qualifié, sans parler de l'orthographe…
Connaissez-vous le temps passé par votre équipe du prépresse, à relire les maquettes reçues, à les retoucher, à ajouter des images, à en discuter… Ces actions indispensables pour le bon déroulement de l'impression sont extrêmement chronophages et rarement valorisées.
Je n'ai pas la prétention d'être un artiste, je suis seulement un technicien.
nuancier Pantone® pour l'impression en tons directs et plaque polyester issue de mon CTP sans chimie
Le format de fichier qui pose le moins de problèmes est le format PDF. Si vous mettez en page vos documents via un éditeur de texte, exportez-les en pdf.
Le format pdf me permet de retranscrire le plus fidèlement votre mise en page.
Surtout, évitez les fichiers aux formats Word® ou Powerpoint® qui dépendent trop de l'ordinateur sur lequel ils ont été créés (versions du logiciel, du système d'exploitation et des polices de caractères).
La qualité des fichiers fournis influe sur la qualité finale d'impression.
Lors du contrôle de vos fichiers, je dresserai un état des lieux : si la résolution ne permet pas une impression optimale, à vous de décider alors si la qualité vous convient ou si vous souhaitez me faire parvenir de meilleurs fichiers.
Une réserve de sécurité est obligatoire pour assurer un bon façonnage de vos documents, un débord minimum de 2 mm est nécessaire sur chacun des 4 côtés si une image doit toucher le(s) bord(s) du document (cela signifie que pour composer une carte au format 86 par 55 mm, il faut travailler sur un document d'au moins 90 par 59 mm et pour un prospectus au format A4, il faut travailler sur un document d'au moins 214 par 301 mm en faisant déborder vos images dans la réserve : pointillés rouges) ; Ce débordement est destiné à compenser l'imprécision de la coupe (le massicot n'est précis qu'à 0.5 mm près, ce qui veut dire qu'il peut y avoir 1 mm de décalage : 0.5+0.5) et disparaitra lors de la découpe du document (d'où l'appellation «fond perdu»). Vos textes doivent être positionnés au moins à 2 mm à l'intérieur du bord de coupe (dans la zone délimitée par les pointillés noirs sur l'image ci-contre).
Je suis équipé pour numériser (scanner) à peu près tous types de documents (photos, images, dessins...) dans une résolution d'image optimum, il suffit pour cela de me fournir les originaux.
Si vous êtes équipé pour scanner vous-même vos documents, reportez vous au paragraphe « Les images », plus bas, pour optimiser la qualité de vos fichiers.
Pensez à faire relire votre document au préalable pour supprimer toute faute d'orthographe (ayez une confiance très limitée dans les correcteurs informatiques). Si vous me confiez la mise en page de votre document, il faudra me fournir des fichiers textes éditables ( .txt).
Dans le cas ou vous effectuez vous-même la mise en page de votre document, utilisez le format pdf et SURTOUT, évitez le format JPG et ne convertissez-pas un format JPG en PDF, c'est pire.
- Le mode de couleur des images : Choisissez de préférence le mode CMJN au mode RVB pour vos documents.
- Le spectre colorimétrique d'un document papier est différent de celui d'un document vu sur un écran, ce qui fait que vos images imprimées seront toujours légèrement différentes de vos originaux à l'écran.
- Pour l'imprimerie, le noir est une couleur, contrairement à la vidéo où il est une absence de couleur.
- La résolution des images : Pour une impression de qualité, vos fichiers devront avoir une résolution de 300 dpi pour éviter la pixellisation de vos images.
Astuce : Pour avoir une idée du rendu de vos images à l'impression, observez-les à l'écran avec un très fort grossissement (de l'ordre de 500 % ou plus), vous verrez alors apparaître la plupart des défauts qui pourront se manifester à l'impression.